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Pascal Site Admin
Inscrit le: 22 Avr 2005 Messages: 229 Localisation: Perpignan
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Posté le: Dim 14 Mai 2006 1:34 pm Sujet du message: [VALIDATION D'UNE DETECTION] |
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1- Va falloir qu'on mette au point une procédure écrite et publique en cas de réception d'un signal.
2- Il faudrait solliciter un ou plusieurs scientifiques professionnels et leur demander ce qu'ils pensent de nos moyens de détection. Comment les faire valider en cas de réception d'un signal.
Pfff du pain sur la planche.
pascal _________________ Pascal
www.chronodrome.org |
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Tanyu
Inscrit le: 07 Mai 2005 Messages: 54 Localisation: Nîmes
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Posté le: Dim 21 Mai 2006 11:45 pm Sujet du message: |
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Pour qu'on puisse obtenir une validation "officielle" il faudrait disposer d'un matériel étalonné par les poids et mesures
Nonobstant la complexité de la chose, je ne vous dis pas le coût..
Alors si vous voulez engager une souscription, il faudrait :
-Un gravimètre étalonné.
-Un magnétomètre à protons étalonné.
-Un gaussmètre étalonné.
...pour commencer...
Mécènes et philantropes..n'hésitez pas à contacter Pascal.. |
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Tanyu
Inscrit le: 07 Mai 2005 Messages: 54 Localisation: Nîmes
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Posté le: Dim 21 Mai 2006 11:47 pm Sujet du message: |
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Ah, j'oubliais..
Rajoutez deux horloges absolument identiques( C.A.D basées sur le même circuit), l'une radio-piloté par une horloge atomique, l'autre pas (seule différence), télécommandées avec une portée de 1000 mètres.. |
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Pascal Site Admin
Inscrit le: 22 Avr 2005 Messages: 229 Localisation: Perpignan
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Posté le: Ven 26 Mai 2006 3:58 pm Sujet du message: Horloges |
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Je me demande si l'écart entre le découlement du temps dans et hors le périmètre se mesurerait en millisecondes ou minutes ou même dizaines de minutes ou heures...
Selon les témoignages de "missing time" vécus (queque soit la valeur qu'on leur donne), les écarts sont suffisament importants pour être relevés sur des montres ou horloges (et non sur des chronomètres à précision "atomique").
Peut-être que nous sommes un peu trop précis non ?
Si on acceptait que 3 secondes d'écart sont considérés comme nuls pour l'expérience, cela nous permettrait de les déclencher manuellement et depuis la distance qu'on veut (talkie-walkie, téléphone portable, visuel, etc).
Qu'en pensez-vous ? _________________ Pascal
www.chronodrome.org |
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Michel
Inscrit le: 27 Avr 2005 Messages: 18
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Posté le: Mar 27 Fév 2007 7:37 pm Sujet du message: Detections et mesures 2007 |
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Bonjour Pascal,
Bonjour a tous,
Je vais installer une cellule optique en périphérie du point visé par le faisceau laser, la moindre variation du rayon quel que soit sa direction déclenchera un signal sonore. Je vous ferai part de mes essais la semaine prochaine.
Pour les horloges on devrait effectivement améliorer l'expérience de la façon que tu décrivait Pascal.
Le fil reliant les chronométres agit comme une antenne receptrice d'où les perturbations enregistrées, on peu toujours y remédier.
Toutes les idées seront les bienvenue. |
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Pascal Site Admin
Inscrit le: 22 Avr 2005 Messages: 229 Localisation: Perpignan
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Posté le: Jeu 01 Mar 2007 8:20 pm Sujet du message: |
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Bonjour Michel, bonjour tous,
Super l'idée du rayon laser dont la déviation serait suivie de manière sonore. Ainsi, si je comprends bien, on pourrait enfermer celui-ci dans une boîte, ce qui éviterait les problèmes de vent. Que celle-ci soit transparente ou en bois n'a plus d'importance puisque le contrôle n'est plus visuel mais sonore. On résout ainsi tout problème de stabilité.
Concernant les chronomètres, pensez-vous valable tout simplement, de lancer le top départ manuellement (un chrono main gauche et l'autre main droite) et ensuite on en éloigne un de 100 mètres. En fin d'expérience on stoppe ceux-ci de la même manière. L'idée étant qu'un éventuel "missing time" (ou désynchronisation) ne serait recevable que s'il dépassait... disons... 3 ou 5 secondes ?
Tout décalage inférieur ne serait pas démonstratif d'une perturbation spatio-temporelle notable indiquant un "signe" venant du futur.
C'est ok ?
Amitiés
Pascal |
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Michel
Inscrit le: 27 Avr 2005 Messages: 18
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Posté le: Mar 06 Mar 2007 7:23 pm Sujet du message: |
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Bonjour Pascal,
Bonjour Philippe,
Bonjour a tous,
Ca marche, le spot du laser mesure 5 millimètres, le cache qui obstru la cellule en fais 8, si le faisceau derive quel que soit sa direction il déclenche un signal sonore.
Si vous avez des suggestions je me reconnecte Jeudi 15 Mars a partir de 18 h, je vous parlerai des gravimètres.
A+ |
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Michel
Inscrit le: 27 Avr 2005 Messages: 18
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Posté le: Jeu 15 Mar 2007 7:12 pm Sujet du message: |
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J'ai eu un emploi du temps trés chargé, je vous parlerai des gravimètres Mardi.
a+ |
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Olivier
Inscrit le: 10 Jan 2008 Messages: 12
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Posté le: Sam 01 Mar 2008 12:58 pm Sujet du message: |
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Tanyu a écrit: |
Pour qu'on puisse obtenir une validation "officielle" il faudrait disposer d'un matériel étalonné par les poids et mesures
Nonobstant la complexité de la chose, je ne vous dis pas le coût..
Alors si vous voulez engager une souscription, il faudrait :
-Un gravimètre étalonné.
-Un magnétomètre à protons étalonné.
-Un gaussmètre étalonné.
...pour commencer...
Mécènes et philantropes..n'hésitez pas à contacter Pascal.. |
Bonjour Tanyu,
Veuillez excuser le décalage temporel sur la réponse, mais il me semble important d’évoquer l’importance relative d’une vérification du matériel, par “ les poids et mesures ”.
Les vérifications des “ poids et mesures ” (aujourd’hui COFRAC) ont tout autant une valorisation de la qualité de la mesure qu’un coût non négligeable, et je le sais bien pour avoir travaillé dans le domaine de la Qualité.
J’ai fait appel à eux pour la certification de matériel de mesure, sachant que ce matériel était sensé valider un résultat à +/- quelque chose, validation en conformité avec des attentes “ client ”, formulées sous la forme d ‘une spécification sur laquelle le “ fournisseur ” a signé un engagement. En plus de sécuriser la prestation de service à un “ client ”, les certificats de vérification labélisés COFRAC (Certificats d'étalonnage) attestent du bon fonctionnement d’un appareil de mesure dans les limites stipulées, c’est à dire que la certification n’est valable que dans les limites fixées par le domaine d’utilisation de l’appareil contrôle, en plus des exigences “ client ”. Voilà pour cadrer le contexte de la certification du matériel de mesure, dans un contexte industriel où la chaîne de mesure est sensée renvoyer un résultat, en vue de valider une attente “ client ”. C’est donc dans ce contexte que peut être brandi un certificat de contrôle pour revendiquer la véracité cadrée et relative d’une mesure réalisée.
Ceci dit, dans le cas de l’expérience du chronodrome, est-on dans le cas de la recherche d’un résultat précis ou bien dans la caractérisation d’une anomalie ?
Imaginons une grandeur physique observée simultanément par deux appareils :
Les deux appareils sont de conceptions différentes et donc les raisons de dysfonctionnements de ces deux appareils sont différentes. En d’autres termes, la probabilité que ces deux appareils mesurent des anomalies en même temps sur le même ordre de grandeur est faible. Rajoutons à ce contexte de caractérisation un troisième appareil, lui aussi de conception différente. Que penser alors d’une anomalie mesurée en même temps sur le même ordre de grandeur par ces trois appareils ? Est-il nécessaire de brandir un certificat des poids et mesures pour attester la mesure d’une anomalie caractérisée ? A mon humble avis, cette mise en oeuvre est largement suffisante pour que le bon sens soit prévalant sur l’étiquetage de vérification périodique.
Cordialement,
Olivier |
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